Suite aux annonces sur le projet de réforme des retraites de la première ministre, un appel à la grève de la totalité des organisations syndicales est lancé pour le jeudi 19 janvier 2023. Cette grève doit être massive !
Signez la pétition : ici !
Comment supporter de se voir travailler deux ans de plus quand aucun effort n’est fait par le ministère pour améliorer nos conditions de salaire et de travail ?
Manifestations unitaires dans toute l’académie :
Manifestation à Saint-Etienne : 10h30 CCI Cour Fauriel. Direction hôtel de ville.
Manifestation à Roanne : 10h30 centre universitaire. Direction Mairie.
Manifestation à Lyon : 11h métro Montplaisir pour le cortège éducation. Direction Bellecour.
Manifestation à Villefranche sur Saône : 16h30 Place de la libération.
Manifestation à Bellegarde à 10h, devant l’Hôtel de ville. Rendez-vous à 13h sur le parking de la piscine et du lycée pour covoiturer vers la manifestation de Bourg.
Manifestation à Bourg-en-Bresse : 14h30 Champ de foire.
Rassemblement à Bellay : 10h30 devant la mairie.
Oyonnax : RDV est donné à 13h sur le parking du centre culturel Aragon à Oyonnax pour rejoindre la manifestation de Bourg.
Le SNES-FSU de Lyon appelle les collègues à s’emparer de la date du 17 janvier, initialement prévue pour défendre nos revendications salariales dans l’éducation, pour appeler à la mobilisation pour le 19.
En organisant des AG dans les établissements, des réunions d’information syndicale, en distribuant des tracts...
Mardi 17 janvier : mobilisé.es pour l’éducation
Rhône : Conférence de presse à 11h au local du Snes-FSU académique
Ain : Conférence de presse à 17h au local du Snes-FSU
Loire : Rassemblement à 17h30 devant la DSDEN
Les questions de salaires, de condition de travail et de retraites sont liées et touchent l’ensemble des collègues. Ce nouveau projet du gouvernement est profondément injuste : il ne s’applique qu’aux actifs, sans aucune autre raison qu’idéologique. Il a pour but de détruire les conquis sociaux et fait peser sur les seules épaules des salariés des décisions difficilement justifiable par la stabilité d’un système par répartition qui a prouvé sa résilience. D’autres moyens sont possibles pour combler un éventuel déficit à venir.
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