Une trentaine de collègues a participé au stage syndical du jeudi 1er février sur les droits et devoirs des TZR. Nos conditions d’exercice et de mobilité ont été évoquées, ainsi que les nouvelles carrières et points techniques (affectations, indemnités, ….).

La proportion des disciplines représentées lors de ce stage laisse entendre que les TZR de langues vivantes semblent particulièrement mobilisés, car plus touchés par les obstacles inhérents à notre fonction.

Malgré nos situations disparates, des préoccupations communes sont soulevées : le souci de continuité et de stabilisation, le besoin de reconnaissance de la pénibilité de notre fonction et de prise en compte de nos contraintes personnelles.

Le fonctionnement parfois inacceptable de nos chefs d’établissement renforce l’idée de rester mobilisés et informés sur nos droits, afin de se prémunir contre leurs possibles pressions managériales. Nous devons nous défendre en connaissant individuellement nos droits et les faire valoir, mais aussi nous mobiliser collectivement avec l’appui du SNES pour réclamer de nouvelles avancées, tel le respect des préconisations du nouveau mémento TZR du CHSCT.

Le sujet du mouvement intra-académique et des affectations estivales a été au centre de l’attention, en soulignant l’importance du suivi syndical. Chaque année, les acquis et bonifications TZR sont menacés voire remis en cause (suppression du groupe de travail d’août en 2017), ce qui invite à rester vigilant et à soutenir la revendication portée par le SNES pour rétablir le contrôle paritaire pour toutes les affectations TZR.